Pourquoi choisir l'AFD ?

L'AFD, ses 2650 collaborateurs, ses 80 nationalités représentées, ses 85 agences réparties sur 5 continents... Et vous ?
  • logo linkedin
  • logo email
Pourquoi choisir l'AFD ? emploi, carrière
Rejoindre l’AFD c’est donner du sens à son métier. C’est aussi faire le choix de travailler au sein d’un environnement stimulant et d’acquérir de nouvelles compétences. Et si l’AFD développait aussi votre carrière ?

 

 

Sens de l'engagement

Equipes AFD agence Ghana

Acteur international majeur de l’aide au développement depuis plus de 75 ans, l’AFD contribue à construire un monde plus juste avec ses partenaires, à travers sa mission : initier, financer et soutenir les projets permettant le développement de sociétés résilientes.

 

Ouverture d'esprit

South Africa

La mise en œuvre partenariale de projets de développement dans 115 pays passe par un travail quotidien avec des équipes multiculturelles, pluridisciplinaires et passionnées.

 

Diversité des parcours

Professional training in Vietnam

La volonté d’une politique de formation ambitieuse, associée à de multiples opportunités d’évolution tant en France qu’à l’étranger, permet à chacun de développer ses expertises et sa carrière.

 

Cadre professionnel

AFD, locaux, Paris

L’AFD est un établissement public industriel et commercial à statut. Son statut du personnel fixe les principales règles de gestion des ressources humaines (période d’essai, congés, structure de rémunération, mobilité professionnelle, etc.) pour ses salariés de droit français (siège, DOM et expatriés). Le 30 mai 2022, un nouveau statut du personnel a été approuvé par arrêté du ministre de l'Économie, des Finances et de la Souveraineté industrielle et numérique. Il entrera en vigueur le 1er janvier 2023.

Consultez le texte 

4000
projets financés en 2021
80
nationalités représentées
« Un projet qui me rend fier »
Rohen, économiste
Rohen, Economiste

« Je suis satisfait de moi lorsque j’arrive à documenter un déficit de connaissances ou à démonter des idées reçues dans les réflexions sur le développement, que ce soit en interne à l’AFD, dans les débats internationaux ou très concrètement dans nos pays d’intervention. L’éducation arabo-islamique au Sahel, la migration subsaharienne ou encore l’efficacité de l’aide internationale à l’éducation sont ainsi des sujets auxquels j’ai pu contribuer très concrètement. J’aime également participer à l’émergence de réseaux nationaux de recherches mieux connectés aux décideurs publics, comme c’est actuellement le cas sur l’éducation au Burkina Faso ou encore l’emploi en Côte d’Ivoire. »

Laureline, responsable pays
Laureline, responsable pays

« En 2016, alors que je m’occupais du Niger, nous avons instruit un projet innovant pour améliorer l’employabilité des jeunes et leur donner des perspectives d’emploi dans une zone contrôlée par Boko Haram, à Diffa. Il s’agissait notamment de lancer un appel à projet auprès d’ONG spécialistes de ces questions. Le projet reposait sur une approche intégrée au niveau d’un territoire, prenant en compte l’ensemble des dimensions qui ont trait à l’insertion sociale et professionnelle des jeunes en combinant temps court et temps long, et en associant les acteurs locaux comme les autorités centrales. Il a fallu mobiliser plusieurs expertises internes qui ont permis de monter un projet ambitieux mais solide ! »

Émilien, volontaire international
Emilien, volontaire international

« L’AFD finance en Bolivie un programme pour construire deux centrales éoliennes d’une capacité installée de 21 et 24 mégawatts. Au cours de l’instruction du programme, j’ai dû tenir compte des caractéristiques propres à chaque projet. Si un projet doit comprendre des mesures sociales et des solutions pour surmonter des difficultés techniques, l’autre peut conduire à élaborer des mesures de protection spécifiques pour l’environnement. Accompagner les experts de l’AFD et les équipes boliviennes pour répondre à ces défis s’est avéré être une expérience professionnelle et humaine très enrichissante. »

Patrick, responsable équipe projet
Patrick, responsable équipe projet

« Accoucher au nord du Cameroun coûte environ 90 euros alors que la majorité de la population gagne moins de 1,5 euro par jour. 
La mise en place d'un pré-paiement des soins permet aux femmes d’acheter un "chèque santé" pour environ 10 euros et de bénéficier ainsi de la prise en charge des soins d’accouchement et si nécessaire de l'hospitalisation et d'une césarienne. Ce chèque représente 10 % du coût réel des soins, et le solde est financé par une subvention gérée par des structures locales de gestion sur la base de la vérification de la réalité et de la qualité des prestations.
Depuis 2015, plus de 90 000 femmes ont acheté ce chèque avec des taux moyens d'adhésion de 70 % dans les communautés. On peut démontrer une baisse de 50 % de la mortalité des femmes dans les structures de santé. La subvention actuellement financée par le projet va progressivement être prise en charge à travers le budget de l’État avec un objectif de triplement du nombre de chèques vendus d’ici 2020. »

Pauline, chargée d’affaires (Banques et marchés financiers)
Pauline, Chargée d’affaire

« Les institutions de microfinance soutiennent les populations exclues du système bancaire traditionnel. Je suis fière de les soutenir dans la poursuite de leur mission sociale en faveur de l’amélioration des conditions de vie des plus démunis.
Au-delà des financements, PROPARCO accompagne les institutions de microfinance dans l’amélioration de leurs pratiques, que ce soit en termes de protection de la clientèle ou de gouvernance. Je suis fière enfin d’avoir l’opportunité de rencontrer des dirigeants passionnés et engagés qui sont à l’initiative de projets innovants dans des contextes socio-économiques difficiles. »

Lu, juriste financement
Lu, Juriste Financements

« En tant que juriste financement des projets de l’AFD en Côte d’Ivoire, j’ai travaillé (et je travaille toujours) sur le financement d’un programme portant sur l’accès à l’électricité et la production d’électricité renouvelable. Le programme permettrait l’électrification d’environ 350 localités rurales et les raccordements de quartiers dans 12 chefs-lieux de Côte d’Ivoire. L’objectif : donner l’accès à l’électricité à environ 110 000 ménages (soit environ 660 000 personnes) qui bénéficieront des branchements financés par ce programme. »